Journal of Arboriculture 31(5): September 2005 241 SAS Institute. 2002. JMP Statisitcal Discovery Software (Vers. 5). SAS Institute, Cary, NC. Sinclair, W.A., W.T. Johnson, and H.H. Lyons. 1987. Diseases of Trees and Shrubs. Comstock Publishing, Ithaca, NY. 575 pp. Smith, M.W., B.L. Carroll, and B.S. Cheary. 2000. Mulch improves pecan tree growth during orchard establishment. HortScience 35:192–195. Sokal, R.R., and J. Rohlf. 1998. Biometry (3rd ed.). W.H. Freeman, New York, NY. 887 pp. Stanosz, G.R., J.T. Blodgett, D.R., Smith and E.L. Kruger. 2001. Water stress and Sphaeropsis sapinea as a latent pathogen of red pine seedlings. New Phytol. 149:531–538. Wargo P.H., and T.C. Harrington. 1991. Host stress and susceptibility, pp. 88–101. In Shaw, C.G., and G.A. Kile (Eds.). Armillaria Root Disease. Agricultural Handbook 691. USDA Forest Service, Washington, DC. Watson, G.W. 1988. Organic mulch and grass competition influence tree root development. J. Arboric. 14:200–203. Wood, C.B., T.J. Smalley, M. Rieger, and D.E. Radcliffe. 1994. Growth and drought tolerance of Viburnum plicatum var. tomentosum ‘Mariesii’ in pine bark- amended soil. J. Am. Soc. Hortic. Sci. 119:687–692. Acknowledgments. This work was completed in part with a grant from the John Z. Duling Fund of TREE Fund. Field and laboratory assistance is appreciated from Lisa (Berg) Hootman, Portia Gallegos, and Dan Thorpe. I am grateful to Dr. Gary Watson and anonymous reviewers for their comments. Plant Pathologist The Morton Arboretum 4100 Illinois Route 53 Lisle, IL 60525, U.S. Current address: Chicago State University Department of Biological Sciences 9501 S. King Drive Chicago, IL 60628-1598, U.S.
[email protected] Résumé. La transmission sur le terrain de la brûlure terminale des pousses par le Sphaeropsis, du chancre par le Botryosphaeria et de la pourriture racinaire par l’Armillaria ont été évalués au cours d’une étude de six ans sur 30 semis de chaque espèce – pin noir d’Autriche (Pinus nigra), gainier du Canada (Cercis canadensis) et chêne rouge (Quercus rubra) – recouvert d’un paillis composé d’aiguilles malades, de copeaux d’écorce et de copeaux de bois récoltés à partir d’arbres matures. La moitié des semis ont été entourés d’un paillis fait de matériel frais tandis que l’autre moitié ont été entouré de paillis ayant été préalablement chauffé à 60 ˚C. La brûlure terminale des pousses a été la seule maladie qui s’est développée au cours de l’étude, et les pins entourés de paillis chauffé au préalable ont développé moins de brûlure terminale (p≤0,001) que ceux entourés d’un paillis composé de matériel frais (6,8% versus 15,1%). L’inoculum d’origine naturelle de S. sapinea et de B. ribis étaient hautement tolérants à la chaleur lors des tests en laboratoire et demeuraient encore viables après une exposition à une chaleur de 55 ˚C de 6 semaines et 48 heures respectivement. Le mycélium et les rhizomorphes d’Armillaria gallica ne supportaient pas des températures supérieures à 35 et 37 ˚C respectivement. Le traitement avec le paillis chauffé au préalable (p ≤ 0,001) a été associé avec une poussée marquée de croissance chez le gainier et le chêne, et ce au cours des deux premières saisons de croissance. Les gainiers ont donné en moyenne des taux de croissance en hauteur et en diamètre de deux fois supérieur à ceux des semis entourés d’un paillis composé de matériel frais de copeaux d’écorce et de bois. Le chauffage du paillis malade à 60 ˚C a permis de diminuer l’impact de la transmission de la brûlure terminale des pousses en tuant à peu près toutes les formes de pathogènes. Zusammenfassung. In einer 6jährigen Studie an jeweils 30 Jungpflanzen von Pinus nigra, Cercis canadensis und Quercus rubra, die Freiland-Verbreitung von Sphaeropsis Spitzensterben, Botryo- sphaeria-Krebs und Armillaria-Wurzelfäule bewertet. Die Jungpflanzen wurden mit befallenen Nadeln, Rinden- und Wurzel- schnitzeln von reifen Bäumen gemulcht. Die Hälfte der Jung- pflanzen wurde mit frischem Mulchmaterial gemulcht, die andere Hälfte mit auf 60˚C erhitztem Material. Sphaeropsis Spitzensterben war die einzige Krankheit, die sich während der Studie entwickelte und die Kiefern, die mit erhitztem Material gemulcht wurden, entwickelten deutlich weniger Krankheitssymptome als die mit frischem Material gemulchten Kiefern( 6,8 % versus 15 %). Natürlich verkommende Inokulationen von S. sapinea und B. ribes waren in Labortests sehr hitzetolerant und blieben nach 6 Wochen und einer 48-stündigen Aussetzung von 55˚C lebensfähig. Armillaria gallica Mycelium und Rhizomorph haben Temperaturen über 35˚C bzw. 37˚C nicht überlebt. Die Behandlung mit erhitztem Mulchmaterial war verbunden mit einem deutlichen Wachstums- anstieg bei Cercis canadensis und Quercus rubra in den ersten beiden Wachstumsperioden. Cercis canadensis erreichte 2mal soviel Höhe und Durchmesserzuwachs als die Pflanzen mit frischem Mulch- material. Das Erhitzen von Krankheitsbefallenem Mulchmaterial auf 60˚C verminderte den Befallsdruck mit Spitzensterben und tötete alle Formen dieses Erregers. ©2005 International Society of Arboriculture
September 2005
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