300 Keith O’Herrin (corresponding author) Ph.D. Candidate – Urban Forestry Department of Forest Resources and Environmental Conservation Virginia Tech Cheatham Hall 310 W Campus Drive Blacksburg, Virginia 24061, U.S.
[email protected] Richard J. Hauer Professor Urban Forestry University of Wisconsin–Stevens Point Stevens Point, Wisconsin, U.S. William J. Vander Weit Retired City Forester Champaign, Illinois, U.S. Robert W. Miller Emeritus Professor Urban Forestry University of Wisconsin–Stevens Point Stevens Point, Wisconsin, U.S. Résumé. La construction de nouvelles maisons sur des terrains boisés est courante dans le Midwest supérieur, aux États-Unis. Les arbres existants sont souvent conservés durant la construction pour éventuellement faire partie du futur aménagement paysager. Une étude réalisée en 1980 a permis de constater que les entrepreneurs en construction du comté de Portage dans le Wisconsin, aux États- Unis, avaient généralement une mauvaise compréhension des im- pacts que les activités de construction avaient sur la santé des arbres qu'ils souhaitaient conserver. Les chercheurs ont reproduit une re- cherche similaire, 27 années plus tard, lors d’une étude auprès d'en- trepreneurs en construction de maisons dans la même région pour voir si leurs connaissances sur la préservation des arbres et leurs pratiques en construction de maisons avaient changé durant cette période. Les résultats indiquent que peu d'activités de construction ont changé de manière significative, démontrant ainsi que, dans l'ensemble, peu de changements ont été constatés afin d'améliorer la préservation des arbres lors des travaux. Même si les entrepreneurs en construction ont considérablement amélioré leurs connaissances sur les effets négatifs que l'accumulation du sol de remblai au-des- sus du système racinaire a sur la préservation des arbres, ils ont également augmenté de manière significative l'utilisation de cette même pratique. Les entrepreneurs en construction ne consultent presque jamais un expert en conservation des arbres et considèrent qu'il s'agit d'un geste de peu d'importance lorsqu'il est nécessaire de prendre des décisions pour la préservation d'arbres. L'intérêt pour des ateliers de formation sur la préservation des arbres était limité. Sans la pression des exigences des consommateurs ou l'obli- gation réglementaire, les entrepreneurs en construction n’améliore- ront probablement pas leurs connaissances sur la préservation des arbres, ni ne modifieront leurs pratiques de construction, ni n'in- tégreront d'experts en conservation dans leur processus de travail. Zusammenfassung. Im oberen Mittelwesten der Vereinigten Staaten ist es üblich, neue Häuser auf bewaldeten Grundstücken zu bauen. Existierende Bäume werden oſt während der Bauphase dahinter belassen, um später ein Teil der künſtigen Anlage zu wer- den. Eine in 1980 durchgeführte Studie fand heraus, das Hausei- O'Herrin et al.: Homebuilder Practices and Perceptions on Wooded Lots gentümer in Portage County, Wisconsin, U.S. allgemein ein gerin- ges Verständnis dafür haben, wie die Bauarbeiten die Gesundheit derjenigen Bäume, die später erhalten bleiben sollen, beeinflussen. Die Forscher wiederholten die Studie 27 Jahre später mit einer Um- frage bei Hauseigentümern in derselben Region um zu sehen, ob sich das Wissen um die Baumgesundheit und die Durchführung der Bauarbeiten über den Zeitraum verändert haben. Die Ergeb- nisse zeigen, dass nur einige wenige Bautechniken sich signifikant verändert haben und dass sich ansonsten nur wenig verändert hat um die Erhaltung der Bäume verbessern. Trotzdem die Bauher- ren ihr Wissen über die negativen Einflüsse von Übererdung von Baumwurzeln auf die Baumerhaltung vergrößert haben, wird die Technik aber dennoch vermehrt von ihnen. eingesetzt. Bauherren konsultierten fast nie Baumexperten und dachten, das wäre die am wenigsten wichtige Entscheidung, wenn sie Entscheidungen zur Baumerhaltung fällen müssten. Das Interesse an einem Workshop zur Baumerhaltung war begrenzt. Ohne den Druck von Konsu- mentenanforderungen oder Bestimmungen werden Bauherren wahrscheinlich nie ihre Kenntnisse zur Baumerhaltung verbessern, ihre Bauaktivitäten ändern oder einen Experten in irgendeiner Bauphase hinzuziehen. Resumen. La construcción de nuevas viviendas en lotes bos- cosos es común en el Medio Oeste, Estados Unidos. Los árboles existentes a menudo se quedan durante la construcción para con- vertirse en parte del paisaje futuro. Un estudio realizado en 1980 encontró que los constructores de casas en el Condado de Portage, Wisconsin, EE.UU. generalmente tenían un mal entendimiento de cómo las actividades de construcción podrían afectar la salud de los árboles destinados a ser conservados. Los investigadores replicaron el estudio 27 años después mediante la inspección de los proyectos de los constructores de viviendas en la misma región para ver cómo sus conocimientos de conservación de los árboles y el uso de las actividades de construcción han cambiado durante ese tiempo. Los resultados indican que algunas actividades de construcción cam- biaron significativamente, pero poco han cambiado en general para mejorar la conservación de los árboles. A pesar que los construc- tores mejoraron significativamente su conocimiento de los efectos negativos del almacenamiento de tierra de relleno sobre las raíces, aumentaron significativamente el uso de esa misma actividad. Los constructores casi nunca consultaron a un experto en conservación de los árboles y si pensaban hacerlo fue la actividad menos impor- tante a la hora de tomar decisiones de preservación del árbol. El interés en un taller de capacitación en conservación de los árboles fue limitado. A menos de estar presionados por la regulación o la demanda de los consumidores, los constructores probablemente no mejoren sus conocimientos de preservación de los árboles, ni cambien sus actividades de construcción, o incluyan a expertos de árboles en todo el proceso. ©2016 International Society of Arboriculture
September 2016
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